Yoann le Couster champion de France avec Baomix

Yoann, de retour des Championnats de France de vitesse 2012 à Arnas, nous fait revivre ici le déroulement des épreuves qui ont eu lieu les 26 et 27 Mai, sur le mur officiel de 13 mètres.

“Dès les runs de qualification, je mets un gros temps (5”50) ce qui me classe directement premier du classement provisoire.
Les tours s’enchaînent et se passent à la perfection, 6”17 en quart de finale, 5”49 en demi finale et pour couronner le tout l’établissement d’un nouveau record à 5”37 en finale qui me classe le premier au classement général !
Pour mémoire les minima pour les coupes du monde sont à 6”15, je vais donc devoir m’entraîner davantage pour représenter la France au niveau international.

Le 1er Juin , quelques jours après le titre national, je m’attaque à la coupe de France de vitesse de 2012, dont la finale se déroule à Echirolles sur le mur officiel de 13 mètres.
La fatigue se fait ressentir, les qualifications se passent bien avec un chrono de 5”86 qui me classe premier des qualifications. Les tours se suivent et s’enchaînent, j’ai une marge conséquente sur mes adversaires ce qui me permet de bien m’appliquer sur les duels sans chercher forcement un gros temps.
En finale, je me trouve directement confronté au vice champion de France en titre, pour lui ce sera donc une “ revanche” des Championnats de France.
Le départ sonne, je fais un excellent départ, je cherche à accélérer car Bassa me talonne de très près, nous tapons le buzzeur quasi simultanément.
Le résultat est très serré.
Je réalise un chrono de 5”39 et Bassa de 5”41!
Je remporte donc la dernière étape de la coupe de France et je m’offre la victoire au classement général ! “

Vidéo complète du championnats de France

Yoann fait quotidiennement confiance à Baomix pour la récupération lors de ses entraînements, il peut aussi mieux enchaîner les séances d’effort intense pour être au top au moment de ses compétitions.

“La prochaine compétition sera la coupe du monde de Chamonix. Avant cette échéance, il me reste beaucoup de choses à travailler : il faudra bosser encore plus physiquement, connaître la voie parfaitement, savoir mettre des runs à fond sans erreur, et avec l’aide quotidienne de la pulpe de baobab Baomix, je vais me donner tous les moyens pour y arriver et décrocher une nouvelle victoire.”

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Le Baobab sauvage Emblème du Sénégal

Emblème du Sénégal

Ordre angiosperme des Malvales
Famille des Bombacées (28 genres, 200 espèces) Genre Adansonia
Le baobab pousse dans les régions semi-arides de Madagascar (7 espèces recensées dont l’Adansonia fony), en Afrique (1 espèce l’Adansonia digitata) et en Australie (1 espèce)

Sa longévité est vertigineuse, 1 000 à 2 000 ans
(6 000 ans prétendait Adanson) performance disputée par le séquoia et le cèdre japonais.

S’il peut atteindre 20 mètres de hauteur, il se tasse en vieillissant au profit de la largeur de son tronc qui peut approcher 30 mètres de circonférence, soit 9,5 mètres de diamètre.

Adansonia du Sénégal

Baobab Adansonia du Sénégal

Arbre bouteille, son tronc épais est constitué de tissus parenchymateux gorgés d’eau.
Le Baobab peut emmagasiner plus de 120 000 litres d’eau.

Les feuilles du baobab apparaissent irrégulièrement entre juillet et janvier.
Arrosé, le baobab peut garder ses feuilles toute l’année.
La floraison a lieu généralement de mai à août, durant l’espace d’une seule nuit, pendant laquelle les amateurs nocturnes de nectar, notamment les chauves-souris, assurent la pollinisation.

Le baobab et l’exploration européenne :

En 1445, les navigateurs portugais conduits par Gomes Pires abordent l’île de Gorée où Dinis Dias s’était arrêté l’année précédente, et découvrent gravées sur des arbres les armes de l’Infant Dom Henrique.
Le chroniqueur Gomes Eanes de Zurara rapporte la description de l’arbre

 » … De très grands arbres à l’aspect étrange, parmi lesquels il y en avait un dont le pied avait 108 empans de tour [soit environ 25 mètres]. Cet arbre n’a pas un tronc plus haut que le noyer, et de la partie fibreuse de son écorce on fait un très bon fil pour les cordages, et elle brûle pareillement à du lin.
Son fruit est semblable à des calebasses, dont les pépins sont comme des noisettes, et ils mangent ce fruit encore vert, et les pépins ils les font sécher et ils en conservent une grande quantité ; je crois que ce doit être pour leur nourriture après que le vert leur manque …  »
In Cronica dos feitos de Guiné – Lisboa 1453.

Dans la science occidentale, ce « calebassier » reprend ensuite le nom de « bahobab » qui désigne en arabe d’Egypte la pulpe ; de  » bu hibab « , le fruit aux nombreuses graines ou « lobab », noix ou amande (in De plantis Aegypti Liber de Prospero Alpina – Venise 1592).
Baobab est le nom utilisé en France dans l’encyclopédie publiée en 1751 par Diderot et d’Alembert, après que Michel Adanson en eût rapporté des échantillons et une description de son séjour à Saint-Louis du Sénégal en 1749 :  » … un arbre dont la grandeur prodigieuse attira toute mon attention. C’était un calebassier, autrement appelé pain de singe, que les Wolof nomment gouï dans leur langue (…). (Sans doute) l’arbre le plus utile de toute l’Afrique (…) l’arbre universel des nègres …  »

Dans leur classification des plantes, Bernard de Jussieu du Muséum de Paris et Charles de Linné rendirent hommage au savant explorateur en donnant au baobab le nom latin d’Adansonia digitata.
Baptisé, l’arbre solitaire de la savane trouvait une famille, les bombacées, de bomba, idiome de la Guinée équatoriale, et faisait son entrée officielle dans la science.

Pourtant, l’abbé David Boilat décrit, comme pour la première fois, l’arbre déjà légendaire, lorsqu’il l’observe dans la région de Mbour :

 » … (ils) y sont d’une grosseur surprenante et en grande quantité : j’en ai mesuré quelques-uns qui avaient de 60 à 90 pieds (20 à 30 mètres) de tour (…). Cet arbre est non seulement utile aux nègres, mais il leur est indispensable. De ses feuilles desséchées, ils font une poudre qu’ils appellent « lalo », qu’ils mêlent avec le kouskous. Ils se purgent avec ses racines ; ils boivent l’infusion chaude de son écorce pour se guérir des affections de poitrine. Le fruit, appelé  » pain de singe « , sert à cailler le lait et se mêle à la nourriture qu’ils appellent le « lack » ou « sanglé ». (…) cet arbre sert quelquefois de demeure aux Sérère Ils pratiquent tout simplement une ouverture dans sa circonférence pour servir de porte; ils ôtent l’espèce de moelle qui remplit l’intérieur du tronc. Ainsi vidé, l’arbre n’en subsiste pas moins. Ils y mettent du feu pour sécher l’aubier, et dans peu de temps, l’écorce, au lieu de s’arrêter en bourrelet, croît, s’étend et finit par recouvrir tout l’intérieur … »
In Esquisses sénégalaises 1853).

Avant d’arriver à Joal, l’abbé visita un baobab d’une grosseur extraordinaire d’environ 26 mètres de tour.
Il y avait deux pièces qui servaient de case et de magasin à un nommé Amar Ngoné.

Aujourd’hui, la visite du grand baobab situé à 15 km de Joal, « le plus grand du Sénégal », nous apprend que le tronc de l’arbre s’ouvre et se referme naturellement, le temps de se voir confier la dépouille d’un griot ou autre personnage d’exception sur le plan social.
Le baobab pharmacien, cosmogonique, totem. Africain, il est essence de lumière, mais son branchage est cagneux et angoissé, son tronc est monstrueux et stigmatisé.
Sénégalais, le baobab inspire poésies, légendes, rites et dévotion.

Pratiquement pas utilisé pour la construction et la menuiserie, sauf peut-être, faute de mieux et à sa mort, pour les pirogues à cause de sa légèreté, son écorce sert à la fabrication des cordes et des fils à tisser avec la partie interne de son écorce.
Son bois est aussi matière première pour le papier d’emballage et, plus noble, convient pour la fabrication de certains instruments de musique. Ressources et abri, l’arbre intègre sa magie à la vie et à la mort des hommes.

Le fruit du baobab bio, pain de singe sur l'arbre avant la récolte
Le fruit du baobab bio, pain de singe sur l’arbre avant la récolte

Pharmacopée

Selon Jean-Pierre Denis et Abdoulaye Camara (Gesproc) toutes les parties de l’arbre constituent des médicaments.
Les feuilles sont notamment utilisées comme antidiarrhéique, fébrifuge, anti-inflammatoire et antifilarien.
La poudre de feuilles desséchées est antianémique, antirachitique, tonique, émollient, anti-dysentérique, antiasthmatique et antirhumatismal.
La pulpe peut combattre la diarrhée, la dysenterie, la variole et la rougeole.
L’écorce est fébrifuge et anti-inflammatoire pour le tube digestif. La fibre du fruit (en décoction) est emménagogue et antidiarrhéique.

Garde-manger

Riche en calcium, en fer, en protéines et en lipides, les feuilles sont consommées en bouillies ou, séchées (lalo ou alo), mélangées à des céréales ou des sauces.
Les graines contiennent de l’huile alimentaire et peuvent être consommées grillées. Riches en phosphate, elles entrent dans la fabrication de savons et d’engrais.
La pulpe du fruit (pain de singe) peut être mangée crue mais est utilisée en bouillie pour confectionner des boissons pour les enfants ; mélangé avec de l’eau, ce breuvage s’apparente au lait de coco avec un goût de citron vert.
La coque du fruit est utilisée comme récipient. Lorsqu’elles ne sont pas mangées cuites, les racines des jeunes plants se dégustent comme des asperges.

Architecture sociale

S’il n’est pas utilisé comme sépulture pour des griots, d’habitation ou de cabane pour ranger les outils et instruments qui ne servent que ponctuellement, le baobab sert d’exutoire ou de confident : en appuyant les deux mains sur son tronc, l’homme fait vœu de sacrifice contre sa malédiction.

Point de repère pour les voyageurs, point de rassemblement pour les villageois en palabre, quand il ne sert pas à l’homme, l’arbre offre l’hospitalité aux animaux de la savane : lézards, margouillats, serpents, oiseaux, mammifères, …

L’absence de jeunes pousses à ses côtés renforce l’image de solitude et de force qu’il inspire.
L’absence de plainte durant sa longue vie au service de l’Afrique force le respect, provoque l’imaginaire et inspire de la compassion : ainsi, quand Albert Londres (in Terre d’Ebène – 1928) décrit le baobab, c’est l’Afrique souffrante qu’il décrit :

 » … géant désespéré, il est manchot et tortu. Il tend ses moignons face au ciel, comme pour en appeler au Créateur de la méchanceté des bourreaux qui l’ont crucifié. On sent qu’il pousserait des cris déchirants s’il avait la parole et qu’il ferait des gestes de détresse si la nature lui avait donné le don du mouvement …  »

Pour Senghor aussi, les bras des baobabs se tordent d’angoisse.
Enfin, le Créateur l’aurait planté à l’envers, las de l’entendre se plaindre !
Dans un bulletin du comité d’études historiques et scientifiques de l’AOF publié en 1926, l’administrateur des colonies Michel Perron rapporte que le village de Toumbou-bâ tient sa notoriété des vertus de son baobab.

 » … C’est lui (le baobab) qui détient le véritable droit d’asile. Ce n’est que dans le creux de son tronc et sous ses branches que personne ne peut plus être insulté ni frappé.
En dehors de toute superstition et légende, ce baobab est de forme très curieuse, même pour ceux qui en ont déjà vu quelques milliers d’autres.
Il se compose, en réalité, de deux gros baobabs jumelés par la partie arrière, subsistant d’un autre baobab qui devait être, celui-là, de circonférence formidable, et qui a dû, au cours des âges, se creuser intérieurement sous l’action de l’humidité et de la pluie jusqu’à pourrir aux trois-quarts.
Sur cette partie arrière, vestige du tronc de l’ancêtre, est poussé un troisième baobab, plus jeune et moins développé encore que les deux premiers.
Enfin un fromager a également poussé sur les racines extérieures du groupe, accolé au tronc du baobab de gauche.
Sur le faîte de cet ensemble gigantesque, c’est un enchevêtrement de branches inextricable. A terre, c’est un autre enchevêtrement de racines noueuses et serpentantes. Entre les deux grands baobabs actuels et dans la partie restante du colosse défunt, s’est creusée une niche naturelle semblable à celle d’une statue de saint dans une de nos chapelles. Un petit autel de pierre est placé dans cette niche.
Voici la légende du baobab racontée par les habitants de Tombou-bâ : ce baobab est venu ici, transporté dans les airs d’un village nommé Balou qui existait autrefois sur la rive orientale du fleuve. Les ancêtres des habitants actuels reçurent l’ordre de suivre le baobab jusqu’à l’endroit où il s’arrêterait. Mamadou Monécata était alors le chef de clan. On ne peut pas dire à quelle époque cela se passe. Un second baobab de Balou partit aussi dans les airs à la suite de celui-ci. Il retomba au village actuel de Faraba (à 200 kilomètres environ). Mais il ne se développa pas outre mesure et n’a pas acquis de pouvoir bien grand. Une partie des émigrés de Balou demeura à l’endroit de la chute et fonda Faraba. C’est pourquoi il y a aussi des Monécata à Faraba, parents de ceux de Toumbou-bâ.
Mamadou Monécata s’arrêta avec ses gens à Toumbou-bâ où tomba et reprit racines le vrai baobab sacré. Il fonda ce village. A sa mort, on l’enterra sous l’arbre. On connaît l’endroit du tombeau, bien que l’on ignore la date d’existence de ce grand aïeul.
Des abeilles avaient suivi, dans le tronc du baobab, mais à sa chute, elles sont parties vivre dans les rochers du marigot voisin. Il n’y a que les gens de Toumbou-bâ qui peuvent prendre ce miel.
Celui qui égratigne l’écorce du baobab meurt dans l’année. Toute écorchure à l’écorce fait sortir du sang. Si l’on casse certains fruits (pains de singe), on y trouve des cheveux humains. Autrefois, quelqu’un voulut monter à l’arbre et y planta des échelons : il mourut sur le coup. On voit encore des traces de cet essai d’ascencion. Une grosse branche cassée, tombée à terre et entièrement desséchée, donne encore fleurs et fruits, auxquels personne ne touche (il est exact qu’en décembre, elle avait encore des bourgeons).
On ne peut ni frapper ni insulter qui cherche asile sous les branches ou dans les cavités du baobab. Au moment de la circoncision, jusqu’à la fin de l’accomplissement de la fête rituelle, il pleut sur le village et cependant c’est la saison sèche. Durant les tam-tams de circoncision, des serpents sortent du baobab et tournent au milieu du cercle des exécutants.
Les femmes stériles viennent appuyer leurs mains contre l’arbre à l’endroit de la cavité en forme de niche. Elles font vœu de sacrifice au baobab, ou bien de donner son nom à leur enfant. Si elle n’exécutent pas leurs vœux assez vite, les enfants meurent.
Telle est la légende du baobab de Toumbou-bâ. »

L’interprète de l ‘administrateur des colonies qui rapporte cette légende, un Toucouleur du Sénégal et musulman, tint paraît-il à marcher sur le baobab en l’écorchant. Mais les habitants avaient une réponse toute faite :  » les pouvoirs du baobab ne valent pas sur les Blancs ni sur les Musulmans « 

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Le baobab, un arbre d’une incomparable richesse, fruits, racines, écorces et feuilles (Adansonia digitata L)

Synonymes : arbre à palabre, arbre bouteille, pain de singe, arbre magique, arbre pharmacien, arbre de vie.

Son nom viendrait de l’arabe « bu hibab » : fruit à nombreuses graines.

Le baobab, un arbre d'une incomparable richesse, fruits, racines, écorces et feuilles (Adansonia digitata L)

Le baobab, un arbre d’une incomparable richesse, fruits, racines, écorces et feuilles (Adansonia digitata L)

Nom botanique : Adansonia digitata L,
Famille : Bombacées
Autres langues : bambara : sira, sito ; peul : bobbe, boki, boy, boré ; sérer : bak ; malinké : seda, sira keda ; wolof : gouye (arbre), bouye (fruit), lalo (feuilles), gif (graines).
Le baobab vit en Afrique tropicale sèche, du Sénégal au Soudan, Afrique orientale, de l’Ethiopie au Mozambique et au Natal.

 

Histoire
Ce majestueux symbole de l’Afrique, qui semble unir la terre avec le ciel, offre à l’homme nourriture et remèdes pour différentes maladies. Il anime le paysage avec sa forme étrange et à la fois extraordinaire : un énorme tronc conique dont les branches ressemblent des racines levées vers le ciel, ce qui accrédite la croyance que l’arbre tire grâce à elles sa force du ciel. Il est le symbole du Sénégal. D’habitude ce vieux géant de notre planète vit solitaire et peut facilement atteindre 20 mètres de haut et 12 mètres de diamètre. Il est surtout renommé pour sa longévité estimée de 1000 à 2000 ans et pour la largeur de leur tronc, laquelle peut atteindre jusqu’à 9 mètres de diamètre. Le plus vieux et le plus célèbre se trouve à Shiramba le long du Zambèze, âgé de 2000 ans.
Dans plusieurs pays africains, le baobab ou « arbre à palabre » est un arbre sacré qui a une forte symbolique sociale. Dans des régions du Soudan, cette espèce protégée est souvent plantée et sa présence est liée à l’occupation humaine. En brousse, elle signale notamment les villages disparus. Certains rapportent que seuls les « érudits »  pourraient y grimper pour cueillir les fruits et les feuilles. Le baobab ne peut pas être abattu par l’homme mais seulement par les évènements naturels. Dans l’ancienne Egypte on aurait pu connaître ses fruits, puisqu’on a aurait retrouvé des inscriptions à coté d’Aswan, dans la tombe d’un chef appelé Harkhuf (2 500 av. JC) qui décrivent la présence du fruit du baobab près du Nil. Son fruit aurait pu être utilisé contre la fièvre. Il figure dans les récits de voyage d’Ibn Batuta (1352)au Mali, puis en en 1445 par des navigateurs portugais. En 1749, lors de son séjour à Saint-Louis du Sénégal et au Cap Vert, le botaniste français Michel Adanson en fit la description et en rapporta et lui redonna le nom de baobab, remplacé jusqu’alors par le nom de calebassier.
Il est raconté que Dieu planta l’arbre à l’envers : le baobab fut le premier arbre planté dans le bassin du Congo mais il se plaignit d’une humidité excessive et ainsi Dieu le transporta sur « la Montagne de la Lune », Ruwenzori, mais il fut encore mécontent. Alors, Dieu énervé par ses plaintes constantes, l’arracha, le déplaça dans une région sèche de l’Afrique et le replanta à l’envers. On raconte en Afrique du Sud que le « Grand Esprit » donna les arbres au premier homme mais aussi à chaque animal ; la hyène fut la dernière alors que seul le baobab restait ; furieuse, elle le planta à l’envers.

Le baobab, un arbre d’une incomparable richesse

Le baobab

Fruits du Baobab

Fruits sur l’arbre de Baobab

La pulpe du fruit contient des quantités importantes de vitamines essentielles telles que de la vitamine C, des vitamines B1 et B2, indispensables à un développement optimal de l’organisme et le maintien de l’intégrité cellulaire des nerfs, de la peau et des épithéliums oculaires, et de la vitamine PP ou B3 importante dans la régulation du métabolisme cellulaire. La pulpe est aussi riche en minéraux (calcium, phosphore, potassium) et acides gras essentiels (acide alpha linoléique). Le goût acidulé de la pulpe est du aux acides organiques tels que l’acide citrique, acide tartrique, acide malique et succinique. Grâce aux caractéristiques à ses valeurs nutritionnelles la pulpe du fruit immergée dans l’eau permet de préparer un boisson rafraîchissante et nourrissante.

La pulpe du fruit du Baobab possède des fibres solubles et non solubles. Les fibres non solubles augmentent le bol digestif et améliorent le transit digestif (tanins, mucilage). Les fibres solubles possèderaient des effets stimulants sur la croissance des probiotiques (« bonnes » bactéries du tube digestif).
La pulpe contient enfin des stérols et triterpènes qui ont une action anti-inflammatoire.
La graine, contient des acides gras principalement, de l’acide oléique (30 à 42%), de l’acide linoléique (20 à 35%), de l’acide palmitique (18 à 30%).
La feuille riche en calcium et fer, contient aussi du phosphore, du potassium, du magnésium, du manganèse du phosphore et du zinc. Elle est aussi composée d’acides aminés, de provitamine A et de vitamine C.
Partout en Afrique les différentes parties de la plante du Baobab sont exploitées au point de vue thérapeutique et nutritionnel et des nombreux remèdes issus du baobab sont cités dans la pharmacopée traditionnelle africaine.

Utilisation en médecine traditionnelle.
Les racines
En Sierra Léon on utilise une décoction ajoutée aux aliments comme stimulant de l’activité sexuelle.
La poudre de la racine sèche préparée comme crème est utilisée comme tonique chez les malades atteints de paludisme.
En Zambie l’infusion de racines est ajoutée au bain des enfants pour que leur peau soit lisse et souple.
La sève sert contre les caries dentaires.

Les écorces

Ecorce de Baobab

 

En médecine traditionnelle elles sont utilisées pour certains problèmes digestifs (richesse en mucilages), comme fébrifuge.
Les tisanes, faites à partir d’écorce ayant bouilli pendant une journée, sont prescrites pour le traitement de la fièvre.
L’écorce contient une sorte de gomme blanche semi-fluide indiquée pour le traitement des plaies.
Les feuilles séchées en poudre sont indiquées comme antianémique, antirachitique, tonique, antiasthmatique, antidiarrhéique, diurétique et antiparasitaire. Des analyses faites sur les feuilles jeunes, séchées à l’ombre et pulvérisées révèlent une présence importante de provitamine A. Les feuilles macérées et comprimées peuvent nettoyer les oreilles et les yeux des enfants malades. Elles sont en outre un remède efficace pour l’expulsion du ver de Guinée.
La pulpe est employée comme cicatrisant, comme fébrifuge, analgésique et pour le traitement de la diarrhée infantile. La pulpe est actuellement considérée comme un traitement actif de la diarrhée enfantine. Une analyse effectuée sur 160 enfants âgés de 8 mois a démontré qu’une solution aqueuse de la pulpe du fruit du Baobab a des avantages importants sur la traditionnelle « WHO solution » (World Health Organization), utilisée pour la réhydratation des enfants affectés par la diarrhée.
Les graines sont utilisées comme galactagogues et contrepoison du strophantus.
L’huile extraite des graines est aussi très appréciée pour ses vertus thérapeutiques. Dans une contrée du Nigéria, le dracunculus medinensis, mieux connu comme ver de Guinée est endémique. Une étude a démontré que les malades traités avec l’huile des graines appliquée en usage topique étaient soulagés par rapport à la douleur et que l’expulsion des vers de Guinée et la cicatrisation de la plaie étaient plus rapides.
En massage, elle soulage les douleurs musculaires, traite les petites plaies et certaines affections de la peau telles que l’eczéma et le psoriasis.
Très hydratante, elle nourrit le peaux sèches et prévient l’apparition de rides. Elle a des propriétés émollientes et adoucissantes.
Elle redonnerait aux cheveux secs leur souplesse et leur brillance et renforcerait les ongles cassants. Son application est recommandée aux femmes enceintes pour améliorer l’élasticité de la peau et éviter ainsi les vergetures.

Utilisation alimentaire et culinaire
Les feuilles, surtout jeunes sont populaires comme les épinards. Elles peuvent être utilisées crues, bouillies ou séchées et même en poudre comme condiments dans les soupes et sauces. La pulpe est consommée comme boisson acidulée et sucrée et condiment alimentaire, la coque, réduite en cendres comme succédané du sel et en poudre, comme succédané du tabac. L’huile de la graine de baobab est utilisée à des fins culinaires à l’occasion de fêtes traditionnelles.

Usages domestiques
Le bois ne se coupe pas facilement, car la force de la coupe est absorbée par l’élasticité des cellules. Son charbon n’est pas de bonne qualité. Immergé dans l’eau pendant plusieurs mois, le bois très léger et spongieux se désintègre en laissant à sa place des fibres utilisables pour l’emballage. Les racines peuvent servir de teinture rouge. Les coques des fruits une fois vidées de leur pulpe farineuse sont utilisées comme assiettes, galets pour la pèche et peuvent être aussi travaillées et transformées en colliers. Elles peuvent être utilisées comme combustible dont les cendres riches en potassium peuvent produire des savons. Les fibres de l’écorce sont particulièrement résistantes et ont de nombreux usages, cordages, cordes d’instruments de musiques, chaussures, collets, lignes à pèche, filets, fibres pour tissus, etc.
Le tronc creux a de multiples usages, comme abri, grenier, réservoir d’eau, étable. Il servait jadis de tombe aux griots (Sénégal). Au Zimbabwe la cavité d’un arbre est utilisée comme salle d’attente pour les autobus et peut contenir jusqu’à 30/40 personnes. Il été même utilisé comme prison, église et même comme abri pour des familles nombreuses. Dans certaines régions sèches, on évide le tronc pour y stocker de l’eau. On creuse à l’intérieur du tronc en partant juste au-dessous de l’endroit où le tronc donne naissance aux grosses branches, puis on enlève tout le cœur qui est du bois mort, ne laissant que l’aubier qui est un tissu vivant et l’écorce, creusant jusqu’au bas du tronc. On crée ainsi une cavité qui peut avoir un volume de plusieurs mètres cubes. Quand celle-ci est pleine, on recouvre l’ouverture avec des branches sur lesquelles on place une natte qu’on recouvre de terre. Ainsi cette réserve d’eau, qu’on pourra conserver plusieurs mois, pourra être utiliser en saison sèche.

 

Baobab au Sénégal, saison sèche

Description

Le baobab jeune ressemble à une bouteille élancée avec quelques rameaux plantés sur le « bouchon ». L’arbre adulte a un tronc fort et trapu qui peut être conique, cylindrique, ayant la forme d’une bouteille ou bien être court et gros. Son diamètre atteint 3 à 6 m et sa hauteur 20 à 25 m. Il est très souvent creux, ses branches étant tortueuses, généralement étalées, formant une large couronne. L’écorce est lisse, de couleur grisâtre, parfois rougeâtre ou argentée. Son épaisseur peut atteindre 10 cm. Le tronc est composé de tissus, qui accumulent, telles des éponges, l’eau pendant la saison des pluies et la conservent pour la saison sèche, en devenant ainsi une réserve pour les populations ou pour les animaux qui vivent dans les alentours. Un baobab de grande taille peut contenir jusqu’à 9000 litres d’eau. Les feuilles sont en forme de doigts (digitées) accrochées à l’extrémité des branches ou sur des petits éperons du tronc. Longues de 10 à 15 cm, duveteuses, vert plus foncé et brillantes au dessus. Les baobabs perdent leurs feuilles pendant la saison sèche, mais peuvent les garder en permanence s’ils sont alimentés en eau (zones fraîches ou lieux arrosés). Elles apparaissent un peu avant la saison des pluies et après ou à la fin de la floraison. Les fleurs apparaissent à partir du mois de mai jusqu’au mois d’août. Un gros bourgeon floral sphérique pend à l’extrémité d’un long pédoncule de 10 à 90 cm. Il s’entrouvre, le calice se fend en 5 parties qui se recourbent peu à peu, se retournent entièrement en s’enroulant vers le haut. La fleur s’épanouit 2 heures après le début de l’ouverture du bourgeon floral, les pétales se déplient, se défroissent et l’éclosion complète se fait rapidement, en un quart d’heure environ, les changements de la fleur étant visibles à l’œil nu. Les fleurs sont grandes, blanches, la corolle est composée de 5 pétales tordus, les étamines sont nombreuses (1500 à 200), ne s’épanouissent que la durée d’une nuit pour perdre leur éclat et se faner le lendemain, et tomber avec les autres le soir suivant. La pollinisation, nocturne, est assurée par des chauve-souris nectarifères. Les fruits de 10 à 45 cm de long ont des formes variables selon les espèces, sphériques, ovoïdes, allongées. Il sont formés d’une partie extérieure ligneuse, très résistante, à forme de capsule recouverte d’un duvet jaune vert, et d’une partie intérieure qui représente la pulpe du fruit. La pulpe du fruit mûr est sèche et a un aspect de poudre blanchâtre avec une saveur légèrement acidulée. Cette pulpe contient de nombreuses graines de la taille et de la forme d’un haricot, dures, brun noir avec des incrustations brun-rouge. Les graines, il y en a 2 à 3000 par kg, peuvent rester viables pendant des années. Si on veut les semer (plutôt en février-mars), il est au préalable recommandé de les faire cuire environ 5 à 7 mn ; dans la nature cette levée de dormance se fait dans le tube digestif des gros mammifères. Les coques des fruits une fois vidées de leur pulpe farineuse sont utilisées comme assiettes, galets pour la pèche et peuvent être aussi travaillées et transformées en colliers. Elles peuvent être utilisées comme combustible dont les cendres riches en potassium peuvent produire des savons.

 

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Bref historique de la découverte des baobabs

Le baobab est originaire d’Afrique tropicale.

On peut souvent lire que les fruits de baobab étaient déjà connus depuis l’Egypte ancienne puisque certains auraient été retrouvés dans des tombeaux. Toutefois, le Muséum de Paris et de Turin pourtant dépositaires de ces fruits n’ont jamais pu confirmer leurs existences dans leur collection actuelle. De plus, les nombreuses fouilles archéologiques menées ces dernières décennies en Egypte sur des anciennes tombes n’ont pas mis en évidence la présence de fruit de baobab lors des exhumations. On lit également souvent que des hiéroglyphes retrouvés près d’Aswan auraient fait référence à des fruits de baobab et cela 2500 ans avant J.-C. Mais là encore, incertitude complète car aucune traduction récente ne mentionne ce récit.
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Indiscutablement, c’est en 1354 que les récits des voyages d’Ibn Battuta, célèbre explorateur arabe, mentionnent cet arbre dans le bassin du Niger. Au 16ème siècle, les fruits se trouvaient au marché du Caire où ils étaient utilisés pour leur propriété fébrile mais ont de nos jours disparus des étales du marché. Le baobab fut décrit pour la première fois par un européen, Prospero Alpino, en 1592 dans De plantis Aegypti liber (Livre des plantes d’Egypte). C’est également dans ce même livre que le nom de baobab a été employé pour la première fois sous la graphie « ba hobab » qui est devenue au XVIIe siècle « baobab ». Il semble bien que « ba hobab » provienne du terme arabe « bu hibab » qui signifie « fruit aux nombreuses graines ».
En 1750, Michel Adanson (1727-1806) découvert cet arbre que l’on nommait « l’arbre aux calebasses » dans les îles du Cap-vert et au Sénégal où il était alors commis de la Compagnie des Indes en poste à Saint-Louis du Sénégal durant cinq années. Ce botaniste français fut le premier à en publier une description botanique détaillée avec illustrations en 1757 et en rapporta des échantillons à Paris. Il réalise alors le lien avec les fruits déjà décrits par Alpino en 1592  et nomme alors cet arbre baobab. Mais Carl von Linné et Bernard de Jussieu n’ont pas retenu ce nom pour le genre de cette espèce d’arbre et proposèrent à cette époque le nom scientifique définitif Adansonia en référence au botaniste.

A Madagascar, les premières planches de description de baobab sont publiées en 1605 ; elles présentaient la variété Adansonia rubrostipa mais ce n’est qu’à la fin du XIXe siècle que la présence d’Adansonia est confirmée sur cette île. Il faudra même attendre 1952 que Perrier de la Bâthie propose une nomenclature assez complète se rapprochant des 8 espèces actuellement mentionnées. Aujourd’hui, le document de référence sur la systématique du genre Adansonia est une révision publiée en 1995 par David Baum.

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Le baobab, inspirateur de légendes

Le baobab apparaît fréquemment dans les mythes de fondation de villages, de villes ou de royaumes. La forme particulière, étrange et imposante du baobab inspire de nombreux propos extraordinaires, contes et légendes. Par exemple, la disposition de ses branches qui ressemblent à des racines, accrédite la croyance que l’arbre tire grâce à elles sa force du ciel.

Plusieurs légendes sont associées à la forme du baobab : les Arabes expliquent qu’un démon a arraché l’arbre, planté ses branches dans le sol et laissé ses racines à l’air. Une autre légende explique que le premier esprit d’une race ancienne proposa aux animaux de planter des arbres. La hyène arriva en retard et reçut le dernier arbre qui restait, soit le baobab. Elle était si furieuse qu’elle le planta à l’envers. La croyance la plus répandue est cependant celle selon laquelle Dieu lui-même planta le baobab à l’envers. Certaines personnes apportent des précisions en disant que Dieu avait d’abord planté le baobab dans le bassin du Congo, puis à Ruwenzori, mais qu’à chaque fois, l’arbre se plaignait d’une humidité trop élevée. C’est alors que Dieu, irrité, décida d’arracher l’insatisfait et le jeta dans une contrée sèche…mais il y atterrit à l’envers.
S’il n’est pas utilisé comme sépulture pour des griots, d’abri bus mais aussi d’habitation ou de cabane pour ranger les outils et autres instruments, le baobab sert d’exutoire ou de confident : en appuyant les deux mains sur son tronc, l’homme fait vœu de sacrifice contre sa malédiction. Dans un bulletin du comité d’études historiques et scientifiques de l’AOF publié en 1926, l’administrateur des colonies Michel Perron rapporte que le village de Toumbou-bâ tient sa notoriété des vertus de son baobab : C’est lui (le baobab) qui détient le véritable droit d’asile. Ce n’est que dans le creux de son tronc et sous ses branches que personne ne peut plus être insulté ni frappé.
Point de repère pour les voyageurs, point de rassemblement pour les villageois en palabre, quand il ne sert pas à l’homme, l’arbre offre l’hospitalité aux animaux de la savane : lézards, margouillats, serpents, oiseaux, mammifères, ..
Petit conte africain

Un jour, une hyène fatiguée, en provenance de la chasse, s’assit sous un baobab et dit : « quelle ombre magnifique! » Le baobab lui répondit : « c’est seulement l’ombre, tu n’as pas goûté à mon fruit ». Elle lui demanda de lui en donner. C’était très bon. Et il lui ouvrit son tronc où il y avait tout ce que l’on désirait avoir au monde. La hyène lui demanda de monter sur sa tête pour l’emmener chez elle. Le baobab, en se posant sur sa tête, a écrasé la hyène.

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