Un constat alarmant de la dégradation des forêts de baobab en Afrique de l’Ouest

La dégradation observée ces dernières années des écosystèmes des zones sahélo-soudaniennes se traduit par un vieillissement des forêts millénaires de baobab lié à l’absence d’une régénération naturelle.

Les jeunes plants de baobab sont rares dans la brousse dès que la végétation arbustive basse de type acacia est absente.
Par exemple, dans certaines régions du Sénégal, on observe déjà une baisse drastique de la récolte de fruit causée par des pratiques intensives agricoles et pastorales, ou encore liées à la pharmacopée et à l’artisanat. Cette dégradation des forêts est importante en Afrique de l’Ouest car on estime le défrichement annuel à 4%.

Afin d’enrayer cette évolution, des programmes de protection, de domestication et de valorisation de cette espèce doivent être réalisés puisque dans la plupart des cas, le baobab n’est pas cultivé mais est exploité comme une ressource forestière naturelle. En 1992, des tests de greffage ont été effectués avec succès au Mali afin de favoriser une fructification hâtive et de créer ainsi des individus de taille modeste pour la récolte.
Des essais de culture maraîchère de baobab ont déjà été réalisés également au Mali pour la production de jeunes feuilles. Au Sénégal, un programme d’éducation à l’environnement autour du baobab intitulé « Baobécole » financé par le Ministère des Affaires Etrangères et l’Institut de Recherche pour le Développement (IRD) va permettre d’informer et de sensibiliser les enfants sur la problématique de la dégradation des forêts de baobab.
L’émondage intensif, semble être l’un des problèmes majeurs de la régénération naturelle des baobabs dans certaines régions de l’Afrique de l’Ouest. En effet, c’est parce qu’il n’y a pas d’herbe à brouter (hors saison des pluies appelée période de césure) que les éleveurs se voient dans l’obligation d’aller couper le feuillage des arbres pour nourrir leurs bêtes. On rencontre alors systématiquement des hommes, le plus souvent des enfants, perchés dans les branches des baobabs, tranchant sans relâche à la machette la quasi-totalité du feuillage.
Si l’on estime que dans une journée 3 ou 4 troupeaux se trouvent dans une forêt et que leurs bergers émondent en moyenne 2 à 3 arbres, on arrive rapidement à 6-12 sujets par jour qui subissent une coupe drastique de leur feuillage, car aucunes branches ne sont généralement épargnées. Un même arbre peut ainsi subir l’émondage plusieurs fois dans la même saison. Il est actuellement difficile d’évaluer l’importance de ces prélèvements qui perturbent incontestablement la croissance et la reproduction du baobab. En effet, la période feuillée n’est déjà pas bien longue au cours d’une année (environ trois mois) et, régulièrement privé de ses feuilles pendant cette période pour l’émondage, le baobab voit sa photosynthèse fortement réduite. Par conséquent, la croissance de l’arbre ainsi que le stockage des réserves l’est aussi. Les prélèvements d’eau par les racines sont également limités par l’absence des feuilles qui, par évapotranspiration, sont le moteur de toute la circulation des sèves à l’intérieur de l’arbre. Les sujets sont alors plus sensibles à la sécheresse et bien moins armés pour affronter la longue saison sèche.
Les jeunes arbres sont à ce propos les plus sensibles. L’émondage intensif empêche la reproduction sexuée car même quand l’arbre arrive à fleurir, les branches sont coupées bien avant que les fruits puissent arriver à maturité.

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Baobab : L’arbre pharmacien, l’arbre de vie

Depuis quelques années, les plantes exotiques sont de plus en plus recherchées par les amateurs et passionnés de plantes. Elles ont fait leurs apparitions dans les jardins, balcons et maisons où les géraniums ont parfois été remisés au placard. Certaines plantes se prêtent plus ou moins bien à ces acclimations en extérieur et intérieur. Par exemple, vous trouverez maintenant sans difficulté dans toutes les jardineries des plants d’Oiseaux du paradis (Strelitzia Regina) qui offrent une floraison extraordinaire en hiver.

Le baobab est un excellent candidat pour une culture en tant que plante d’appartement.

Pourquoi ? Il ne craint pas le manque d’eau, vous pouvez l’oublier quelques mois – il est très peu exigeant sur le substrat du moment qu’il se trouve dans un mélange drainant – il n’est pas avare de soleil, bien au contraire et supportera d’être placé derrière une fenêtre bien ensoleillée. L’idéal est même de le sortir directement à l’extérieur au printemps, été et automne dès que la température nuit et jour ne descend pas en dessous de 15°C.

Vous aurez ainsi une plante originale, disons même un arbre, qui ne l’oublions pas est caduque. Ne vous étonnez donc pas de voir ses feuilles jaunir et tomber en automne ; ce n’est pas parce qu’il manque d’eau, il suffit de jeter un coup à l’extérieur pour voir que les arbres réagissent de la même manière. Votre baobab vous fait signe qu’il a besoin de repos, un arrosage très léger une fois par mois suffira et attendez patiemment la fin du printemps pour le revoir se reverdir.

Il est assez difficile de se procurer des plants de baobabs en France. Ce sont dans les jardineries que vous aurez le plus de chance d’en trouver. Dans le cadre de son programme de sauvegarde des forêts de baobab de Nguékokh au Sénégal, l’association Chênes et Baobabs vends également différents produits autour du baobab : graines, fruits, plants (voir la boutique internet). A ce titre, un premier projet intitulé Baobécole (éducation à l’environnement autour du baobab en Afrique) financé par l’IRD (Institut de Recherche et de Développement) et le Ministère des Affaires Etrangère français va être lancé dès octobre 2006.

Les baobabs vendus en France le sont en général racines nues. Ce type de conditionnement n’affecte en rien cet arbre qui peut rester ainsi plusieurs mois avant d’être rempoté. Attention toutefois, toucher systématiquement le tronc du baobab : s’il est mou et spongieux, il y a des fortes chances que ce baobab ne redémarre pas. Les prix varient de quelques euros pour les plants les plus jeunes (1 – 1,5 ans) à plusieurs dizaines d’euros pour des plants plus âgés (4-5, 7-8, 10-12 ans). Si vous n’arrivez pas à trouver des plants ou bien si vous préférez démarrer directement depuis la graine, voici quelques conseils pour réussir votre germination :

1 – Le semis

Le semis des graines est souvent caractérisé de difficile mais les passionnés de baobab vous diront le contraire ! En respectant quelques consignes simples, il n’est pas si difficile de faire germer les graines et obtenir un plant de baobab que vous pourrez garder des années voir des décennies. Les graines sont disponibles dans la plupart des jardineries; si vous avez la possibilité de récupérer un fruit ou encore directement du pain de singe, vous pouvez bien entendu y récupérer les graines à l’intérieur. Il faut également savoir que les graines de baobab se conservent de nombreuses années, de préférence dans un endroit sec et sombre. D’une manière générale, le taux de germination diminue avec les semences plus âgées.

Pour germer, tout graine a besoin d’humidité, de chaleur et d’air. Cependant, ces facteurs, s’ils sont nécessaires, ne sont pas toujours suffisants. En l’occurrence, 2 cas sont possibles: l’inhibition de la germination et la dormance véritable. Pour le baobab, il s’agit d’une inhibition due à l’extrême dureté des téguments de la graine, ce qui a pour effet de la rendre imperméable à l’air, la lumière et l’eau et rend le réveil de la graine impossible si elle est plantée sans préalable dans du terreau. Il est à observer que de nombreuses graines d’arbres et plantes sahéliennes sont soumises à ce frein. Afin de lever cette pseudo-dormance, plusieurs méthodes sont souvent adoptées : elles peuvent être scarifiées, immergées pendant plusieurs jours (3 à 7 jours) dans de l’eau tiède ou encore ébouillantées une quinzaine de minutes. Les taux de germination sont alors variables. La scarification consiste en une incision ou un râpage des graines qui permet d’éliminer en partie le tégument le plus dur. Cette méthode assure une pénétration rapide de l’eau au sein même des tissus mais exige du temps pour la préparation. Elle conviendra donc à de toutes petites quantités de graines. Un bon taux de germination est obtenu avec cette méthode si l’on n’abîme pas les tissus. L’utilisation d’acide sulfurique ou nitrique concentrés pour attaquer en partie le tégument suivi d’un rinçage à l’eau froide permet d’obtenir un taux germination supérieur à 85 %. Attention à la durée de trempage des graines qui est déterminante car il n’est pas question d’abîmer l’embryon : un trempage à l’acide sulfurique pendant trente minutes suivi immédiatement d’un rinçage à l’eau et d’un trempage (toujours dans l’eau) pendant 24 heures. Cette méthode est souvent utilisée par le centre forestier de reboisement; toutefois, afin d’éviter de manipuler de tel produit dangereux et nocif, une méthode plus simple et naturelle, permet d’obtenir un excellent taux de germination (plus de 70 %).

En Afrique, l’action des acides gastriques particulièrement puissants chez les ruminants contenus dans l’estomac, agit d’une manière tout à fait naturelle pour lever la dormance des graines de baobab en détruisant en partie le tégument.

Ce sont par exemple les éléphants de la savane africaine qui vont ainsi participer à la germination et dissémination des graines de baobab.

2 – Que faut-il pour réussir son semis ?

– Un bac à semis, type mini-serre, que l’on trouve facilement dans les jardineries.

– Utiliser donc un bon terreau à semis qui reposera sur un lit de pouzzolane que l’on trouve maintenant facilement dans toutes les jardineries. Un substrat bien drainé est indispensable. Vous pouvez également utiliser des billes d’argiles, perthites, ou encore du sable de rivière.

– Un pulvérisateur
– Un fongicide pour prévenir de la fonte des semis

– Des godets en plastique pour le rempotage de 5X5X5 cm environ. Ne pas utiliser des godets en tourbe qui retiennent trop l’humidité pour ce type de semis

3 – Voici les étapes pour réussir la germination des graines d’Adansonia digitata :

Plonger les graines dans l’eau pendant 48 à 72 h. Vous pouvez les laisser plus longtemps, l’essentiel est de constater un gonflement de la graine, signe que l’eau a réussi à atteindre l’embryon à l’intérieur de la graine.

* Dans le bac à semis, déposer un mélange de terreau et pouzzolane ou billes d’argiles.
* Plantez les graines à 5 cm maximum de profondeur et espacées de 5 cm.
* Arroser largement et placer la mini-serre en plein soleil derrière une fenêtre ou dehors en été. En été, les fortes températures permettent en général un démarrage rapide des graines.
* Humidifier ensuite lorsque la surface est sèche à l’aide d’un pulvérisateur.
* Au bout de 7 à 14 jours, les cotylédons commencent à sortir suivis des premières feuilles.

Pour le rempotage attention, les jeunes pousses de baobab sont fragiles. Il faut attendre que les premières paires de feuilles après les cotylédons se soient bien développées pour procéder au rempotage. Vous pouvez ensuite les transplanter en godet individuel (godets de 5X5X5cm). Pour cela, extraire délicatement les jeunes plantules de baobab de préférence avec le terreau autour. Si les racines apparaissent, vous pouvez les saupoudrer d’hormone de bouturage (dite aussi d’enracinement, poudre d’hormone) pour plantes. Vous pouvez également mélanger un peu du terreau d’origine avec le nouveau terreau, de façon à ce que le baobab ne soit pas trop « perturbé » par son nouveau substrat totalement inconnu de lui. Ne pas trop tasser dans un premier temps surtout si les racines étaient nues. Enfin, un premier arrosage abondant grâce au pulvérisateur.

Il vous faudra prévoir un rempotage régulier (par exemple tous les deux ans) qui aura lieu pendant l’été. Taillez à cette occasion les racines de 1/3 au moins. La taille des branches n’est pas nécessaire mais si vous voulez lui donner une certaine forme, vous pouvez réduire les branchages.

4 – Les éléments importants :

L’air : La lumière doit être modérée lors de la levée, et s’avérera être un facteur décisif du développement de votre baobab. Placez donc votre pot à proximité d’une fenêtre ou sous votre véranda. En ce qui concerne la température, bien qu’acceptant en période d’hivernage des nuits à 13°C, votre arbre s’épanouira véritablement à partir de 20°C. Donc n’hésitez pas à le sortir durant l’été entre mai et octobre.

L’arrosage : il devra être parcimonieux et très espacé dans le temps : une fois par mois en hiver à une fois par semaine en été. En effet, le bois mou et spongieux de l’arbre se gorge d’eau en saison des pluies afin de disposer de réserves en période sèche. Ainsi conduit, vous pourrez espérer, après une croissance rapide sur les 2 premières années, un accroissement plus raisonnable de 3 cm par an au cours des 50 prochaines années. Taillez rameaux, branches, feuilles lorsque vous les jugez trop longs.

Comment faire ensuite, une fois que la graine a germé ? Pas de panique mais tout excès d’eau risque d’entraîner la mort de votre baobab : un arrosage modéré, plutôt une pulvérisation en surface pour conserver une bonne humidité tous les 2-3 jours voir tous les jours en été. Si vous avez une mini-serre en plastique c’est l’idéal les premières semaines de sa longue vie…

5 – La coque reste collée…

Si l’atmosphère à l’intérieur de votre serre n’est pas assez humide, on observe souvent une adhérence entre la coque de la graine et les premières feuilles. Dans ce cas, augmentez l’humidité de votre serre pour que la coque s’enlève toute seule, ou bien retirer là délicatement manuellement. Si la coque ne n’arrive toutefois pas à se retirer, attendez quelques jours que les premières feuilles se soient presque complètement développées avant de l’arracher. Les deux feuilles initiales du baobab sont appelées cotylédons et sont semblables par exemple aux cotylédons des courgettes. Dès que les vraies feuilles apparaissent, les cotylédons se flétrissent en général, car ils ont assurés pleinement leurs fonctions de protection de la zone de croissance et de soutien alimentaire de la jeune plantule.

6 – Si rien ne se passe au bout de 14-21 jours :

Il est probable que la germination des graines semées ne débutera pas sans une autre intervention de votre part. Première chose à faire, retrouver les graines pour vérifier l’état de la semence. Si elles sont toujours dures au toucher, 2 solutions s’offrent à vous: soit vous arrosez de nouveau généreusement le mélange de semis ce qui devrait permettre de lever la dormance des graines au bout de quelques jours (inconvénient: si le semis est trop humide, le germe peut pourrir dès les premiers jours) soit vous procédez à un nouveau trempage des graines pendant quelques jours. Si elles sont molles, la germination va débuter sous peu, vérifier si la racine n’est pas en train de sortir.

Par  Sébastien Garnaud

Sources  www.futura-sciences.com

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Baobab africain ADANSONIA DIGITATA

Le baobab africain (Adansonia digitata) est la plus connue des 8 espèces de Baobab. C’est une herbe africain à caudex du genre Adansonia et de la famille des Bombacacées, selon la classification classique, ou des Malvacées, selon la classification phylogénétique.

Sacré pour plusieurs cultures, c’est aussi un arbre à palabres qu’il est malvenu ou sacrilège de couper. C’est l’arbre typique de l’Afrique tropicale sèche et l’emblème du Sénégal.
Étymologie

Son nom vient de l’arabe bu hibab, fruit à nombreuses graines. En effet, chacun de ses fruits ovales contient souvent plusieurs centaines de graines dont on peut extraire une huile alimentaire.
Description

L’arbre au tronc ventru et au bois mou gorgé d’eau (on l’appelle pour cela « arbre bouteille ») a une allure caractéristique. Il est généralement très massif et peut atteindre 25 m de haut et plus de 12 m de diamètre avec une couronne de branches irrégulières et dépourvues de feuilles 9 mois sur 12. C’est une des explications à son appellation « l’arbre à l’envers » car il parait avoir été retourné tête en bas.

Adansonia digitata a un caractère botanique unique dans le genre Adansonia : des fleurs blanches pendantes, au contraire des autres espèces à fleurs érigées.

L’écorce est fibreuse, grise et lisse, quelquefois irrégulièrement tuberculée. Elle a la particularité de pouvoir se régénérer.

Le bois est mou et spongieux.

Le fruit (pain de singe) du Baobab se présente sous une forme oblongue d’environ 100 mm de diamètre et 200 mm de long. Il contient des graines enrobées d’une pulpe déshydratée. On utilise la pulpe blanche séchée dans la préparation d’une boisson appelée bouye ou jus de bouye, utilisée pour le traitement des diarrhées.
Longévité

Cet arbre de croissance lente est exceptionnellement longévif, on peut rencontrer des spécimens âgés de près de 2 000 ans. En fait, les baobabs ne produisent pas de cernes tous les ans du fait des sécheresses récurrentes qui touchent la savane africaine, il est donc difficile de déterminer leur âge par des méthodes de dendrochronologie.

Distribution

C’est un arbre africain typique de la savane arborée sèche, où on le rencontre en compagnie d’acacias, tamariniers et albizias. Son aire de distribution va du Sahel, surtout au Sénégal[citation nécessaire], jusqu’au Transvaal, où sa sensibilité au gel limite son expansion. Il est absent des forêts ombrophiles d’Afrique centrale.
Alimentation
Fruits
Les fruits du baobab sont comestibles. Leur goût acidulé plaît aussi bien aux humains qu’aux singes (d’où leur appellation de « pain de singe »). Ils sont très riches en vitamines B1 et C et contiennent deux fois plus de calcium que le lait.

Grillées, les graines du baobab peuvent remplacer le café. La pulpe des fruits frais ou séchés est utilisée pour la confection de boissons.

Depuis juillet 2008, le fruit est autorisé à la vente par la Communauté européenne (cette autorisation est obligatoire depuis 1997 pour tout produit alimentaire non déjà couramment consommé en Europe).
Racines, turions

Les jeunes pousses et les racines des jeunes plants sont consommées comme des asperges.

Feuilles

La feuille de baobab riche en protéines et minéraux (calcium, fer, potassium, magnésium, manganèse, phosphore, zinc, et puissant aliment antioxydant) se consomme bouillie. Au Sénégal, le « lalo » est une poudre de feuilles de baobab séchées que l’on incorpore aux céréales ou aux sauces, notamment lors de la préparation du couscous de mil.

Du côté de Kayes (au Mali), les enfants emploient parfois les graines comme bonbons en raison de la saveur acidulée de la pulpe.

Thérapeutique

En Afrique de l’Ouest, le fruit séché est utilisé en décoction en cas de diarrhées pour ses vertus astringentes. La feuille est utilisée en décoctions pour tisanes médicinales.

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